Le 12 juin, Réseau Alliances et Moha proposeront une formation dédiée à l’élaboration d’une stratégie QVCT. Organisé sur deux jours non-consécutifs, ce temps permettra aux participants d’appréhender les différentes étapes nécessaires pour construire, mettre en œuvre et mesurer les effets d’une stratégie QVCT. Rencontre avec Ophélie Glachet, Docteure en psychologie et chargée de prévention en QVCT chez Moha.
D’après une récente étude menée par Ipsos et Qualisocial, 61 % des entreprises ayant instauré des politiques de QVCT constatent un effet positif sur la santé mentale de leurs salariés. Ce chiffre monte à 71 % pour les employeurs les plus avancés. Si ce sujet reste parfois à la marge, il constitue pourtant un réel levier pour les entreprises. « Aujourd’hui, les aspects sociétaux sont un peu moins adressés dans la RSE. Notre ambition au sein de Moha est de remettre l’aspect humain au centre des enjeux des entreprises. La formation QVCT que nous animons propose de former en interne des référents dédiés à ce sujet, afin qu’ils soient capables de mettre en place une stratégie QVCT de A à Z » explique Ophélie Glachet, Docteure en psychologie et chargée de prévention en QVCT chez Moha, entreprise qui fournit de nombreux services autour de la QVCT. La formation propose ainsi de nombreux apports théoriques et pratiques. Chaque participant pourra tester ses connaissances à travers des mises en situation et des cas pratiques fictifs. « Nous nous appuyons sur des témoignages, des verbatims, et nous partons toujours de ce que vivent les entreprises. C’est d’ailleurs pour cela que cette formation en collectif est proposée au sein de Réseau Alliances : nous avions cette volonté commune de créer des liens entre la RSE et la QVCT ».
Des effets pour le collaborateur et l’entreprise
Moha s’appuiera sur un outil de pilotage de la QVCT développé par nos équipes. L’entreprise propose également une application à destination des collaborateurs qui offre de nombreuses ressources sur ce sujet. À travers cette formation, Moha souhaite ainsi faire prendre conscience du potentiel d’une telle démarche pour l’entreprise et ses collaborateurs. « C’est un peu comme la pyramide de Maslow que l’on viendrait transposer au monde du travail. Le niveau le plus bas couvrirait l’aspect sécuritaire du poste, l’échelon intermédiaire serait relatif à l’écoute et l’autonomie que l’on peut avoir dans son travail. Le niveau le plus haut serait l’accomplissement que l’on a à travers son travail. C’est ce levier que nous recherchons à obtenir. De nombreux indicateurs le prouvent : une stratégie QVCT a des retombées pour l’entreprise. Les dirigeants en tireront forcément des bénéfices. Prendre soin des collaborateurs, c’est prendre soin de l’entreprise » ajoute Ophélie Glachet. Preuve en est : un gain de 31 % de productivité est observé chez les collaborateurs qui se sentent bien dans leur travail. C’est aussi une des premières raisons évoquées par les salariés pour rester au sein de leur entreprise. Un enjeu de productivité, de fidélisation et d’attractivité.
Pour en savoir plus
- Rendez-vous le 14 mai à 11h30 pour un webinaire de présentation
- Inscrivez-vous dès à présent à la formation
- Consultez notre page de présentation